Nathalie Ménigon. Demande de libération conditionnelle après plus de 20 ans d’enfermement. Réponse dans 2 semaines, le 19 juillet 2007.
Quels sont les signes ?
* Un jugement favorable en première instance.
* Un procureur ou bien un juge qui dit « Il faudra bien qu’elle sorte ! »
* La pénitentiaire qui fait refaire ses papiers d’identité à Nathalie.
* L’appel fait dans l’heure qui suit la décision favorable.
* L’avocat de la famille Besse qui s’oppose au dossier.
* Ce même dossier qui est attaqué de toute part : le travail, le handicap, le lieu, les amis qui accueillent.
* Et toujours pas de repentir, de renoncement !
Alors ne pas penser au jugement. « Pas d’espoir, pas de désespoir » comme le dit Nathalie.
Ne penser qu’aux camarades, à leur force, à leur volonté.
Quelque soit la décision, sombre ou porteuse de lumière, le combat continuera. Pour Nathalie, Jann-Marc, Georges, Régis. Pour Joëlle aussi. Et pour tous les prisonniers révolutionnaires et pour toutes celles et ceux que la bourgeoisie a enfermés dans ses prisons de misère.
Question de classe !
Tant qu’il y aura des opprimés !
Ne lâchons pas.
La Victoire ou la Victoire.
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Jeudi 5 juillet 07 – RENDEZ-VOUS DE NLPF
de 18h à 19h : En solidarité et pour la libération des militant-e-s d’Action Directe. Rassemblement devant la direction de l’Administration pénitentiaire (carrefour rue de la Verrerie-rue du Renard, Paris IVe, métro L1-L11 Hôtel-de-Ville).
à 20h : Réunion d’information sur la procédure d’aménagement de peine pour Nathalie Ménigon ; projection d’extraits de l’enregistrement de la conférence de presse organisée par Défense active à la Bourse du travail le 26 février dernier (CICP, 21-ter rue Voltaire, 75011, M° rue des Boulets ou Nation).