☞ Avec Turgut Kaya, journaliste et révolutionnaire turc, arrêté en février par les autorités grecques pour répondre aux désirs de la Turquie. Celle-ci en effet l’a inscrit dans sa liste rouge, a mis sa tête à prix et a lancé un mandat d’arrêt international à l’encontre de ce militant, du fait de son appartenance supposée au TKP/ML (Parti Communiste de Turquie / Marxiste-Léniniste). Elle demande désormais son extradition.
Depuis début juin et au péril de sa vie, il est en grève de la faim pour exiger du gouvernement de Syriza qu’il n’obéisse pas aux désirs du régime fasciste turc et qu’il ne l’extrade pas. Lors de la visite d’un militant soutenant cette cause, Georges Abdallah a exprimé sa totale solidarité avec Turgut Kaya, comme il a toujours soutenu le combat de tous les prisonniers révolutionnaires de Grèce, de Turquie et d’ailleurs.De nombreuses actions de solidarité ont eu lieu dans le monde comme à Munich, Frankfurt, Dusseldorf, Bern, Stuttgart, Vienne, Londres, Bruxelles, Toulouse, Athènes…
☞ Avec Khalida Jarrar, dirigeante palestinienne du Front Populaire de Libération de la Palestine (FPLP), parlementaire et féministe, arrêtée le 2 juillet 2017 par les forces d’occupation israéliennes, qui a vu sa détention administrative renouvelée le 14 juin, deux semaines avant sa libération. Le Collectif pour la libération de Georges Abdallah (CLGIA) ainsi que la Campagne unitaire Ile de France font partie des 275 organisations signataires de l’appel à sa libération.