★ Dans un appel rédigé le 4 octobre 2017, un comité belge demande au ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders, d’intervenir auprès des autorités françaises, afin d’obtenir la libération de Georges Ibrahim Abdallah.
Il y dénonce un « acharnement » à l’égard de Georges Ibrahim Abdallah. « Nous refusons les peines sans fin pour les prisonniers politiques, d’autant plus que de nouvelles lois antiterroristes menacent nos libertés », déclarent les signataires de l’Appel belge pour la libération immédiate de Georges Ibrahim Abdallah,
L’histoire des procès de Georges est faite de juridictions d’exceptions, de pressions directes des EU et d’Israël, d’interventions d’agents des services secrets français. Georges Abdallah est toujours resté fidèle à ses opinions (et c’est cela aussi que la justice française lui reproche). Derrière les barreaux, il organise des grèves avec les prisonniers palestiniens, soutient lesluttes contre les violences policières en France …
★ Communiqué de presse (extrait) :
Par la présente, nous attirons votre attention sur la sortie de « l’Appel belge pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah » et la liste des signataires, en vue d’une publication dans vos colonnes.
Fait rare et exceptionnel : plus de 300 signatures d’organisations et de personnalités et de citoyens engagés ont été collectées, tant au nord qu’au sud du pays. Vous trouverez dans les listes ci-jointes les noms de 35 organisations belges, de 35 personnalités du monde universitaire, de 18 avocats, de 14 syndicalistes, de 15 journalistes et photographes, de 28 personnes acteurs/actrices culturels, de 42 personnes actives dans des associations, de 12 militants et mandataires politiques.
Tou.te.s s’adressent au nouveau gouvernement français pour qu’il libère Georges Ibrahim Abdallah, le plus ancien prisonnier politique d’Europe.
★ 300 signataires belges, dont 35 organisations, s’adressent au gouvernement Macron pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah.
Une délégation s’est rendue, mercredi 21 novembre, à l’Ambassade de France à Bruxelles et a remis à l’ambassadrice « l’Appel belge pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah« et ses 300 signatures, dont 35 organisations.