☞ Réponse du ministère le 20 octobre à un courrier qui lui a été adressé le 25 août : en PDF ici
Tout en comprenant et en respectant le sens de votre démarche, je me dois de vous indiquer qu’en raison des principes constitutionnels de séparation des pouvoirs et d’indépendance de l’autorité judiciaire, il ne m’appartient pas de donner quelque instruction que ce soit aux parquets dans le cadre de dossiers individuels, ni d’interférer dans les procédures judiciaires, y compris d’aménagement de peine.
☞ Réponse du Collectif 65 au courrier précédent : en PDF ici
Vous êtes dans votre rôle républicain, pour ce cas de déni de justice, de faire respecter les décisions judicaires au-delà des contingences politiques.
« Certainement camarades, nul besoin de s’attarder longtemps sur les diverses arguties judiciaires pour expliquer le refus de libérer tel ou tel prisonnier; c’est toujours au niveau des instances politiques que l’on décide de la place et du poids du rituel judiciaire dans telle ou telle affaire… » Georges Abdallah – janvier 2014