Jeudi 2 août 2007, les journarognards, prédateux pathétiques, soumis serviles à leurs minables donneurs d’ordre, se sont rassemblés aux portes d’une prison du sud pour rapter l’image du jour ; Nathalie retournant en cellule après une première journée de semi-liberté. « Madame Ménigon !!! » criaient-ils, « Madame Rouillan » répondit-elle doucement, manière élégante d’évoquer Jann-Marc toujours enfermé et qui verra sa demande de liberté conditionnelle examinée le 4 septembre.
A Nathalie, à Jann-Marc, à Georges et Régis et pour toujours, à Joëlle !
Liberté pour les camarades d’Action directe !