La solidarité ne désarme pas !
★ A Tunis, le 29 novembre 2014, journée internationale de solidarité avec le peuple palestinien, plusieurs actions avec un hommage à Georges Abdallah organisées par le syndicat de l’enseignement secondaire et d’autres composantes solidaires de la cause palestinienne. Le Comité de solidarité tunisien pour la libération de Georges Abdallah présent à ces manifestations a tenu à rappeler à tous que le combat pour sa libération continuera jusqu’au bout.
Plus de photos ici sur la page facebook du Comité.
★ A Lille, le 29 novembre, lors d’une soirée-débat sur la situation actuelle de la Palestine, en présence de l’ambassadeur de Palestine en France, Hael Al Fahoum, de Qassam Barghouti, des parents du jeune Mohammed Abou Khdeir brûlé vif par des colons et d’autres anciens prisonniers palestiniens, Georges Abdallah était présent à la table du CSRP 59 (Collectif de Soutien à la Résistance Palestinienne / Nord).
Plus de photos ici sur facebook.
★ A Bordeaux, lors d’une soirée organisée par Palestine 33 le 29 novembre, Jean-Guy Greilsamer a présenté la Campagne BDS France (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) dont il est un membre actif. Lire ici.
« Toute personne engagée à soutenir le peuple palestinien se doit de s’engager aussi dans la campagne pour la libération de Georges Abdallah » a-t-il déclaré dans une interview à la Clé des Ondes de Bordeaux, le lundi suivant.
Présence également du soutien à Georges Abdallah dans un meeting « Pour La Palestine » organisé par le PCF et pour la liberté de Marwan Barghouti. Les soutiens ont profité de cette occasion pour donner des nouvelles de Georges Abdallah et en demander de Ahmed Saadat responsable du FPLP en prison. Plus ici.
★ A Paris, le 5 novembre, un débat « Les prisonniers politiques indigènes dans les prisons occidentales » organisé par le PIR, la BAN et l’UHURU.
« Ils sont cinq. Cinq comme les cinq doigts d’une main qui se referme en un poing de colère et de résistance. »
Mumia Abou Jamal, Léonard Peltier, Assata Shakur, Marwan Barghouti, Georges Ibrahim Abdallah, cinq militants tous enfermés – ou en exil – pour avoir défendu leur peuple face à l’odieuse machine de guerre impérialiste et raciste.