Pour exiger la libération immédiate
de Georges Ibrahim Abdallah,
le CLGIA vous appelle à un rassemblement,
mercredi 27 février 2013, de 18h30 à 20h,
place de la Fontaine Saint-Michel 75006 Paris.
Le 28 février 2013 aura lieu la énième audience d’appel du Parquet, alors que le tribunal d’application des peines a émis, le 21 novembre dernier, un avis favorable à la libération de notre camarade.
Nous ne lâcherons rien ! Ni les chantages, ni les intimidations ne fragiliseront le formidable mouvement de solidarité pour Georges Abdallah.
Ci-joint une liste de témoignages de ce soutien ainsi que de diverses initiatives :
– Gabi Mouesca : vidéo.
– Salah Hamouri : « Tout d’abord, je veux saluer ce grand combattant de la liberté, à qui j’accorde un grand respect parce que sa volonté et ses principes n’ont pas été brisés par les barreaux des prisons. Comme beaucoup de personnes, je demande la libération immédiate et sans condition de Georges Ibrahim Abdallah. Aujourd’hui plus qu’avant, cette libération doit avoir lieu compte tenu de la décision prise par le tribunal. Malheureusement, le gouvernement français bloque cette libération, et préfère se soumettre à la pression américano-israélienne, au lieu de défendre sa souveraineté nationale. » Lire l’article entier.
– communiqué de la World Federation of Democratic Youth.
– déclaration de Youssef Boussoumah, membre du PIR.
– communiqué de Voie Prolétarienne.
– lettre d’une militante de liberonsgeorges PACA aux militants communistes et du Front de Gauche.
– le PCF 13 écrit à Manuel Valls.
– « Valls, réveille-toi, libérez Georges Abdallah ! ». Vidéo.
– pour info : Suite à la question écrite du député PCF élu dans le Douaisis Jean-Jacques Candelier publiée dans le Journal officiel du 20 novembre 2012 (voir : http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-10317QE.htm), Christiane Taubira avait deux mois pour répondre. Elle ne l’a pas fait. En cas de non-réponse, c’est au groupe (en l’occurence le groupe des députés communistes et républicains) de relayer la demande à travers une précédure dite d’ « alertement ». Cela a été fait le 29 janvier 2013. La ministre avait alors dix jours pour répondre, même par fax, le cas échéant. Pour la première fois depuis cinq ans qu’il exerce la fonction d’attaché parlementaire de Jean-Jacques Candelier, c’est la première fois que Gautier Weinmann est exposé à une fin de non-recevoir qui s’assimile, en langage parlementaire à un « refus de répondre »…