La cour spéciale de Paris vient d’accorder à Jean-Marc Rouillan, militant d’Action Directe en prison depuis plus de vingt ans, un aménagement de peine, dit régime de semi-liberté, première étape avant d’accéder à une liberté conditionnelle. Le parquet a décidé de faire appel.
Comme pour Nathalie Ménigon, cette semi-liberté qui reste un régime de détention sera assortie de contraintes exceptionnelles.
Il serait incompréhensible que Georges Cipriani n’obtienne pas lui aussi un aménagement de peine.
Et Régis Schleicher est emprisonné depuis plus de 23 ans.
Quant à Georges Abadllah, enfermé dans les geôles de l’Etat français depuis 1984 et libérable depuis 1999, la décision sur sa septième demande de libération conditonnelle sera rendue le 10 octobre 2007.
(Collage réalisé par Bruno Baudrillart – L’affiche est celle de la campagne calomnieuse à l’encontre de la famile Abdallah)
A Joëlle Aubron toujours présente !