La solidarité à Georges Abdallah ne désarme pas.

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Au fond de sa cellule de la Centrale pénitentiaire de Lannemezan, Georges Ibrahim Abdallah attend toujours, depuis le 21 novembre 2012, l’examen de sa demande de libération, retardé par le refus du ministère de l’intérieur de signer son arrêté d’expulsion.

Craignant de contrarier l’allié étatsunien qui souhaite, dans des déclarations faites à la presse, rien moins que la mort de notre camarade en prison, l’État français cache mal cette complicité dans une série rocambolesque de procédures juridiques.

Et la solidarité continue de s’exprimer dans son pays le Liban, ici en France, en Palestine et aussi, en Argentine.

★ Dans l’Akkar, région du Nord Liban, plus de 150 municipalités ont exprimé leur solidarité avec leur compatriote et résistant Georges Ibrahim Abdallah.

★ A Jénine, en Palestine, face à la Croix Rouge, un rassemblemnt s’est formé en solidarité avec les prisonniers palestiniens et avec Georges Abdallah.

★ En Argentine, une veillée a été organisée par les partis de gauche, en face de l’ambassade sioniste, en faveur des prisonniers de l’occupation et en soutien à Georges Abdallah.

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★ Le 7 février dernier, à Limoges, des camarades ont été invités à parler de Georges Abdallah pendant la soirée organisée par le Cercle Gramsci, ayant pour thème « Palestine, état d’urgence ? » avec Julien Salingue et en collaboration avec l’association Limousin-Palestine.

★ Le 13 février prochain, à Toulouse, une soirée de soutien à Georges Abdallah est organisée par le collectif anti-impérialiste Coup Pour Coup 31.

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Une banderole exigeant la libération du plus ancien prisonnier politique de l’Héxagone flotte désormais sur le fronton de l’Hôtel de Ville de Grenay (Pas-de-Calais). Lire ici.

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